Acceptons le malheur et nous connaîtrons le bonheur véritable !


Est-ce que nous cherchons des solutions pour être heureux sans se rendre compte de notre état malheureux ?


 

 

Le véritable bonheur

 

À voir le malheur si présent dans nos vies et à voir le nombre de personnes qui cachent cela pour bien paraître, ne serait-il pas temps d'avoir une toute autre approche des profondes habitudes établies !

Puis de choisir le bonheur, en sachant clairement ce qu'il n'est pas et ainsi éviter de passer notre vie à croire à tort, que nous sommes heureux afin de protéger notre égo, notre image au devant des autres ?

Il n'y à rien de mal à être malheureux, à se sentir ainsi.

Les riches tout comme les pauvres le ressentent. Les instruits tout comme les illettrés aussi. Sans oublier les Blancs et les Noirs ainsi que les Catholiques et les Musulmans.

Ce qui n'est pas approprié est de le nier, de se mentir et ainsi passer toute sa vie sans connaître le véritable bonheur, mais une version contrefaite.

 

Est-ce que notre malheur prend naissance en cherchant notre bonheur hors de nous ?

Ne sommes-nous pas réactifs en voulant trouver le bonheur hors de nous, donc chez les autres ?

Nous entrons dans nos relations en espérant obtenir du bonheur des autres, ce besoin essentiel afin d'être heureux, d'être satisfait.

N'est-ce pas cela qui se passe ?

Lorsque la profonde habitude s'installe de compter sur les autres pour être heureux, alors la peur de perdre ce besoin essentiel se manifeste en nous. Cela apporte la dépendance aux autres.

Nous créons en toute inconscience, des doutes dans notre esprit, des inquiétudes, des attentes et alors pour se protéger de cela, pour se protéger d'une quelconque perte, nous utilisons des moyens pour retenir l'autre, pour le forcer à continuer à nous donner ce dont nous croyons avoir besoin pour être heureux.

Pouvons-nous observer sans jugement, que le fait de vouloir retenir un être humain contre sa volonté donne naissance à des arguments, des disputes, des conflits et éventuellement des divisions ?

Ne sommes-nous pas ainsi, lorsque quelqu'un veut nous contrôler pour tirer un avantage sur nous sans notre consentement, sans notre permission ?

Et si le bonheur était nous, et que nous cherchions par habitude, hors de nous, le bonheur, ne serions-nous pas en train de tourner en rond sans s'approcher du bonheur ?

Sans s'approcher de se connaître véritablement ?

 

L'habitude de réagir n'est pas un choix libre !

Nous réagissons à un problème, à un état d'être inconfortable, malheureux, en voulant mettre fin le plus rapidement possible à cette situation.

Notre réaction débute dans la peur, donc dans l'absence de choix. Nous sommes malheureux et nous réagissons à vouloir trouver une solution pour être heureux.

Hélas ! Cela nous empêche de ne pas accepter "ce qui est", de ne pas accepter notre état d'être malheureux ni d'avoir l'intention de comprendre comment nous avons créé cet état malheureux.

Ne pas accepter "ce qui est", c'est vouloir le fuir dans "ce qui devrait être". Voyez-vous la différence ?

 

Qui a créé vos sentiments malheureux ?

L'habitude provenant de notre enseignement et de nos traditions ont produit cette façon de penser réactive et ainsi ne jamais observer s'il existe un choix plus élevé lorsque nous vivons un état malheureux ou un problème.

Nous imitons les autres pour ainsi dire et ceux que nous imitons ont imité les autres également.

Par conséquent, lorsque nous sommes malheureux, alors jamais il ne nous vient à l'esprit que nous sommes responsables de cet état d'être, car au départ, nous croyons que notre bonheur dépendait de l'autre.

Ainsi, nous avons créé inconsciemment notre état d'être malheureux, car nous n'avons pas eu de choix conscient concernant notre bonheur.

Nous avons cru les autres nés avant nous à ce sujet, nous avons fait confiance aux autres nés avant nous, et cela a produit l'absence de liberté de choix.

 

Vous avez maintenant un choix libre !

Cette absence de choix est très utile, car en acceptant cela, en acceptant que nous n'avons pas eu de choix, alors notre conscience observe qu'il existe un contraire, soit la liberté de choix.

Comprenez-vous ?

L'information à ce sujet entre dans votre esprit sans que personne vous oblige à croire.

Si l'obscurité n'existait pas, comment prendre conscience de l'existence de la lumière en l'absence d'obscurité ?

Si le malheur n'existait pas, comment prendre conscience de son contraire ?

Ainsi, c'est en jugeant le malheur de mal, que nous créons dans notre conscience, une absence de choix et ainsi continuer à vivre malheureux en croyant que cela est le bonheur pour bien paraître.

Plus nous résistons et plus le malheur prend de la force. En acceptant le malheur, donc en lâchant prise, nous permettons à la vie de nous apporter, de faire entrer en existence le contraire de cela dans notre esprit, de bien se sentir et ainsi avoir un CHOIX LIBRE.

 

Quelle expérience aimeriez-vous vivre ?

Connaître le bonheur, c'est se connaître par choix, en sachant clairement ce que nous ne sommes pas et en l'acceptant sans jugement.

Nous ne sommes pas des imitateurs qui doivent suivre les autres, car ainsi nous devenons comme eux.

Nous ne sommes pas des êtres qui doivent faire confiance aux autres, car ainsi nous vivons dans le doute, les inquiétudes et les attentes.

Nous ne sommes pas des êtres qui dépendent des autres pour être heureux, car ainsi nous vivons dans la peur de perdre nos besoins.

Nous ne sommes pas des êtres qui ont des besoins, car ainsi nous vivons dans l'inconscience de ne pas être des créateurs ayant le pouvoir de choisir la vie qui nous intéresse.

N'ayons pas de besoins, mais uniquement des préférences !

 

Maintenant vous ?

Quels sont vos sentiments qui résonnent le plus avec ce qui est écrit ? Laissez-moi vos commentaires pour mieux écouter vos inquiétudes.

 


 

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Auteur entrepreneur de plusieurs contenus éditoriaux de sites Web et fondateur d'entreprise. C'est la vérité qui libère et non les efforts qu'on fait pour se libérer.