Les 8 croyances qui vous empêchent d'être vraiment heureux au travail !


Vous ne pouvez pas être heureux au travail avec une solution quelconque, mais en comprenant les croyances qui ont créé votre situation actuelle.


 

 

8 croyances qui vous empêchent d'être heureux au travail

 

N'est-il pas étrange de voir autant de bonnes personnes saines d'esprit ne pas être heureuses au travail ou faire un travail monotone toute leur vie ?

Ou d'autres, moins saines d'esprit, cacher leur vérité pour bien paraître et affirmer qu'elles sont heureuses au travail ?

En fait, vous n'avez pas besoin d'une solution pour être heureux au travail, vous avez juste à prendre conscience des croyances qui ont créé votre situation.

Et cette conscience s'éveille, lorsque vous observez, acceptez et comprenez ce qui est (les croyances de ce qui ne fonctionne pas) afin d'éviter d'imiter les gens qui ne sont pas heureux au travail.

Dans cet article, je vous montre 8 croyances qui ne fonctionnent pas pour être heureux au travail et de là, choisir ou non, de les changer.

 

 

1. Les solutions à faire ne changent aucunement vos croyances qui créent les conséquences

Choisir consciemment, c'est créer quelque chose de nouveau, donc de comprendre d'abord, comment vous avez créé votre situation actuelle, non de l'oublier au moyen d'une solution réactive, corrective, superficielle.

Voyez-vous, une des plus profondes croyances inconscientes dans notre façon de penser consiste à réagir, à chercher une solution à faire concernant un problème sans comprendre comment nous l'avons créé, comment nous avons donné naissance à cette situation.

Trop souvent, nous cherchons hors de nous et par habitude, le ou les responsables de ce qui nous arrive sans croire une seule minute, que peut-être, nous sommes responsables.

Par conséquent, je n'ai pas besoin de vous apporter une solution, comme tout le monde le fait pour changer quelque chose, mais de vous faire remarquer, ce qui ne fonctionne pas.

Vous montrer ce qui est (les croyances qui ne fonctionnent pas) afin de faire entrer en existence dans votre esprit, autre chose de ce qui est.

Ainsi, vous aurez un choix conscient et libre, une nouvelle information ou point de vue, non une croyance imposée comme ce fut toujours le cas auparavant.

Donc, si vous n'êtes pas conscient de vous, de vos sentiments ou états d'être, alors vous n'avez aucune chance de changer vos croyances, votre état d'être qui est l'énergie qui lance la création de vos expériences ainsi que les conséquences dans vos sentiments et votre réalité.

 

Ce qui est : Ne pas être conscient de choisir vos états d'être.

Ce qui n'est pas : Être conscient de choisir vos états d'être.

 

2. Le bonheur au travail n'est pas un résultat

Peu importe si vous travaillez comme employé ou comme entrepreneur, le bonheur au travail est une chose rare, car cela n'est pas un résultat à avoir en faisant quelque chose, mais bien un état d'être choisi consciemment, peu importe ce que vous faites ou avez.

Vous pouvez être heureux de recevoir une promotion, avoir un nouvel emploi, avoir de nouveaux clients ou avoir plus d'argent, mais dans la plupart des cas, cela ne dure que quelques instants ou quelques jours.

Le bonheur au travail est dans ce vous vous êtes, peu importe ce que vous faites ni dans ce que vous avez.

Chercher des solutions à faire pour être heureux au travail (avoir du bonheur) est manifestement une habitude trompeuse, mais parce que des millions de gens vivent ainsi, parce que nous avons été éduqués à vivre ainsi, alors il est difficile de vivre autrement.

L'enseignement met l'importance sur les résultats à avoir, non sur le processus qui crée les résultats. Ce processus de création est en deux étapes, soient être et faire. Nous sommes un processus !

 

  1. Être, c'est être en relation en choisissant des états d'être qui créent du bien-être à vous et aux autres, peu importe ce que vous faites.

  2. Faire, c'est utiliser vos trois outils de la création qui sont la pensée, la parole et l'action.

 

Dans la création, l'être précède le faire, mais dans l'imitation, le faire est tout ce qui compte et ainsi oublier l'être, oublier la création et la relation.

 

Ce qui est : Faire quelque chose pour être heureux.

Ce qui n'est pas : Être heureux et créer ou recréer quelque chose.

 

3. La sécurité n'est pas quelque chose de motivant dans un travail

L'enseignement vous impose, dès votre jeune âge, à imiter les autres nés avant vous, à suivre leur façon de vivre, donc à imiter, à vous faire contrôler par des systèmes politiques, éducatifs, économiques et religieux afin de vous faire croire qu'ils sont plus importants que vous, plus importants que l'être humain.

Leur intention cachée est de vous faire croire que vous avez besoin d'eux pour être heureux ou pour survivre créant alors, une perte de confiance en vous en donnant une fois aveugle en eux.

Ils détiennent alors, le pouvoir sur vous, le contrôle sur vous.

Ainsi, vous vivez dans la peur de perdre ce dont vous croyez avoir besoin pour être heureux ou survivre. Cet idéal se nomme la sécurité, avoir un travail sécurisant, peu importe votre état d'être.

Cette sécurité, que l'enseignement vous fait croire, produit l'absence de motivation dans un travail imitatif, produit la monotonie dans votre vie. La création est votre nature et cela vous permet de sentir toute la grandeur de qui vous êtes.

En vérité, la sécurité est une peur de vivre des problèmes, un confort monotone dans l'imitation de quelque chose de connu, de passé. Tandis que les sentiments inconfortables ou les problèmes sont la source de toute création dans la liberté que procure l'inconnu.

 

Ce qui est : La sécurité produit l'imitation monotone.

Ce qui n'est pas : La nouveauté produit la création motivante.

 

4. L'obligation n'est pas quelque chose de passionnant dans un travail

J'ai longtemps travaillé dans un domaine sans passion, en mentant inconsciemment que j'aimais ce travail... tout cela pour bien paraître au devant des autres.

Durant mes années scolaires, j'ai été obligé d'apprendre ce que les autres voulaient sans aucune possibilité de pensée indépendante, libre. Je devenais indifférent.

Lorsque quelqu'un détient le pouvoir ou le contrôle sur nous, alors il est en position de nous obliger à faire quelque chose par la peur et la culpabilité.

L'enseignement contrôlé est une obligation à faire, il n'y a pas de liberté et cela va contre notre nature humaine.

Avez-vous été piégé, tout comme moi, à vivre dans la dépendance et dans le besoin d'argent pour survivre et ainsi faire un travail par devoir, un travail sans passion ?

On m'a obligé à perdre mon temps à apprendre plein de choses qui ne s'alignaient pas sur ma passion, mais sur les intérêts des autres qui contrôlaient les systèmes, donc sur leurs intérêts égoïstes tout en me faisant croire que c'était pour mon bien-être et ainsi manipuler mon mental.

La passion est un état d'être qui se transforme en un état de faire. Comme le domaine de l'être n'existe pas dans la réalité scolaire ni au travail, alors jamais nous ne pouvons prendre conscience de ce que nous aimons faire.

Je remercie les problèmes que j'ai eux, car sans cela, j'aurais continuer à vivre dans une forme d'oublie, dans l'inconscience de moi, et ainsi ne jamais choisir de faire ce que je voulais.

Lorsque j'ai pris conscience que ma passion n'était pas un domaine à faire, mais bien un verbe, alors j'ai compris parfaitement cette croyance qui m'empêchait de faire quelque chose que j'aimais.

J'aime écrire, voilà ma passion de faire. Ma passion s'appuie sur deux choses, un état d'être d'amour (j'aime) et un verbe (écrire).

Mais nous avons été éduqués à se faire demander en étant jeune "Que veux-tu faire dans la vie" ou "que veux-tu devenir" ? Cela ne sont que des idéaux futurs et non des vérités ou sentiments d'être présents. L'amour est maintenant non demain et ce que j'aime faire a toujours été, est et sera toujours au moment présent.

Ma passion est ce que j'aime faire selon moi, non ce que je dois faire selon les autres ni ce que je voudrais ou aimerais faire.

L'enseignement fait fausse route en n'aidant pas les enfants à prendre conscience de ce qu'ils aiment faire, à être attentif à ce qu'ils aiment faire maintenant.

 

Ce qui est : L'obligation de faire produit l'ennui au travail.

Ce qui n'est pas : La liberté d'être produit la passion de faire.

 

5. Le choix de la raison n'est pas un domaine de travail intéressant 

Lorsque vous n'êtes pas conscient de ce que vous aimez faire, alors vous perdez de vue votre passion et ainsi croire à tort, croire par la raison, qu'un domaine est ce qui vous intéresse de faire.

Un domaine n'est pas un verbe, mais une thématique, une catégorie, une matière, un sujet. Ainsi, vous choisissez un domaine de travail sans être conscient de votre passion de faire et sans être conscient si cela apporte quelque chose de valable dans la vie des autres.

L'enseignement n'est pas conscient de cela, il vous conditionne l'esprit à apprendre un domaine selon un choix de la raison, selon ce qui est le meilleur pour vous sans connaître vos sentiments ni ceux des autres.

Sans connaître votre vérité ni celle des autres.

Sans avoir de passion pour vous ni de compassion envers les autres.

Vous choisissez un domaine pour des raisons et non pour utiliser votre passion au service des autres.

Avoir de la compassion, c'est comprendre et être attentif aux problèmes des gens, à leurs frustrations, à leurs inquiétudes et apporter de la valeur dans leur vie.

Mais l'enseignement invente des domaines qui n'apportent pas de valeur aux autres, mais bien souvent qui créent des problèmes aux autres.

Voilà ce qu'est le domaine d'une passion et pourquoi tant de gens n'ont pas d'intérêt dans leur travail.

J'aime écrire dans le domaine des relations.

  • J'aime est l'amour, la conscience de mon être ;

  • Écrire est ma passion de faire ;

  • Les relations est le domaine de ma passion, ma compassion.

 

Ce qui est : Le choix de la raison produit l'intérêt personnel.

Ce qui n'est pas : Le choix de la compassion produit l'intérêt relationnel.

 

6. La compétition n'est pas quelque chose d'aimable dans les relations de travail

Combien de personnes ayant les mêmes qualifications et les mêmes diplômes vont arriver sur le marché du travail et lutter entre elles pour obtenir un emploi ?

Combien de gens, travaillant dans la même entreprise, vont rivaliser entre eux afin de décrocher un poste, une promotion ?

Combien d'entreprises, ayant beaucoup d'argent, vont chercher à détruire les plus petites afin d'avoir un plus grand monopole sans offrir plus de valeur aux clients ?

Combien de politiciens, ayant du pouvoir sur les autres, vont chercher à dominer ou à contrôler le plus de gens et autres pays afin de nourrir un ego qui n'en finit plus de vouloir plus de reconnaissance, plus d'importance, plus de pouvoir ?

Pourquoi les gens veulent tellement se comparer entre eux afin de prouver qui est le meilleur, être à la hauteur, être plus ? De faire des choses malhonnêtes, détestables, injustes et abominables pour arriver à leur fin ?

L'enseignement compétitif, vouloir être meilleur, plus important, plus performant que les autres est la profonde croyance qui crée un monde malheureux et qui divise les gens. Cette croyance, que la compétition est quelque chose de sain, est l'un des plus grands problèmes de ce monde.

Comment sortir de ce moule d'indifférence, de conflits et de guerre ?

Comment être unique des autres, être différent des autres dans notre travail, quand l'enseignement produit des imitateurs et nous faire croire qu'il faut s'entretuer, lutter et se battre afin d'arriver à nos fins ?

Quelle inconscience !

Pourquoi ne pas se comparer avec soi-même afin de voir si nous sommes plus conscients, plus aimables et plus généreux dans nos relations par rapport à hier ?

Pourquoi les gens ne voient pas qu'il est dans leur plus grand intérêt de se réaliser collectivement, que de se réaliser individuellement ?

Pourquoi les gens se voient comme des adversaires, non comme des partenaires ?

 

Ce qui est : La compétition produit la haine.

Ce qui n'est pas : La coopération produit de l'affection.

 

7. Gagner sa vie n'est pas quelque chose de joyeux dans un travail

L'enseignement nous a conditionné l'esprit à croire que nous devons gagner notre vie, faire un travail pour gagner de l'argent afin de pouvoir survivre.

Ainsi, nous travaillons en faisant quelque chose que nous n'aimons pas en échange de l'argent et ainsi avoir une mauvaise interprétation concernant l'argent.

Un mal pour un mal pour ainsi dire dans notre système de valeur.

Mais lorsque notre travail est passionnant et intéressant, qu'il apporte du bien-être aux autres et à nous, que nous ne cherchons pas à être meilleurs que les autres qui font la même chose, que nous sommes uniques et différents, alors les gens sont libres et consentants à nous donner de l'argent, et il n'y a rien de mal avec l'argent.

Cet argent nous apporte la joie de continuer notre travail, la joie de continuer notre entreprise, de créer du bien-être dans nos relations.

Ainsi, vous ne travaillez pas pour gagner votre vie et ainsi la perdre, vous travaillez pour aimer votre vie en utilisation votre pouvoir de création dans les relations et cela est une grande joie, car vous n'avez pas d'attentes en retour.

 

Ce qui est : Gagner sa vie produit la peur de la perdre.

Ce qui n'est pas : Aimer sa vie produit la joie de vivre.

 

8. Accumuler plus n'est pas quelque chose de glorifiant dans un travail

L'enseignement et les traditions nous ont fait croire à tort, que la supériorité est d'accumuler plus que les autres et ainsi être reconnu comme une personne plus importante que les autres.

Accumuler plus de connaissance académique, accumuler plus d'argent, accumuler plus de biens matériels, accumuler plus de prestige, de gloire, de reconnaissance, toujours plus.

Ainsi, nous vivons dans la peur de fait partie des perdants, car il a été dit que les perdants sont des êtres inférieurs. Alors vous cherchez à être à la hauteur, à mentir pour cacher votre vérité ou manipuler les gens pour en obtenir plus, pour protéger votre réputation, votre ego.

Avez-vous peur de manquer de quelque chose ?

Avez-vous peur que les autres vous prennent quelque chose ?

Pourquoi accumuler plus, quand il suffit de partager avec les gens ?

De quoi auriez-vous besoin, si tout le monde partageait ?

Alors cessez de vous retenir et offrez aux autres, ce que vous voulez pour vous et ainsi faire l'expérience d'en avoir.

 

Ce qui est : La supériorité produit la reconnaissance des autres.

Ce qui n'est pas : L'unité produit l'amour de soi.

 

Choisir ce que vous êtes en comprenant ce que vous n'êtes pas

Votre travail est l'expression de qui vous êtes, non de qui vous n'êtes pas.

  • Vous n'êtes pas des êtres imitatifs, mais des êtres créatifs.

  • Vous n'êtes pas des résultats, vous êtes ce qui produit des résultats.

  • Vous n'êtes pas des êtres inconscients, mais des êtres conscients.

  • Vous n'êtes pas aux ordres des autres, mais à vos propres ordres.

  • Vous n'êtes pas des êtres rationnels, mais des êtres émotionnels.

  • Vous n'êtes pas des êtres séparés, mais des êtres en unité avec tout.

  • Vous n'êtes pas des êtres qui doivent gagner leur vie, mais d'aimer la vie.

  • Vous n'êtes pas des êtres supérieurs, mais des êtres égaux.

 

C'est en acceptant et en aimant ce que vous n'êtes pas, que vous faites entrer dans votre conscience, ce que vous êtes et ainsi choisir librement de vous exprimer.

Sans ce choix, vous n'avez pas de choix. Sans les ténèbres, vous ne pouvez pas prendre conscience de la lumière. Sans le mal, vous ne pouvez pas sentir ce qui est bien.

Par conséquent, il est essentiel d'accepter et aimer tout dans la vie, non de porter un jugement ni de condamner ce que vous n'êtes pas...

 

 


 

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Auteur entrepreneur de plusieurs contenus éditoriaux de sites Web et fondateur d'entreprise. C'est la vérité qui libère et non les efforts qu'on fait pour se libérer.