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Comment se libérer de la tristesse reliée à la mort sans effort ni douleur ?

Qui de nous ressentira un jour de l'inquiétude au sujet de la mort ou est actuellement en train de vivre un deuil d'une personne chère ? Aimeriez-vous être libéré de cette peine qui continue en vous, même lorsque vous êtes seul ?

Probablement, vous avez cherché des distractions ou de la compagnie afin de vous soulager de votre peine, mais est-ce que ces solutions temporaires ne font qu'augmenter votre tristesse, une fois que vous êtes seul ?

Y a-t-il quelque chose de différent qui pourrait vous libérer de votre peine de façon permanente et ainsi vivre une vie plus joyeuse, même dans vos souvenirs avec la personne disparue ?

 

 

 

En vérité, la solution qui fonctionne ne se trouve pas dans des échappatoires ou des solutions temporaires pour éviter de penser à la mort de votre être disparu, comme bien des gens vous le disent, mais tout simplement dans un processus simple qui est déjà en vous.

Et c'est ensemble que nous pouvons observer cela et ainsi découvrir un secret bien gardé, qui est enfoui en vous. Cependant, vous devez avoir l'intention sincère de vouloir comprendre quelque chose de différent, d'inconnu, sinon vous serez fermez à toute nouvelle chose.

Ici, il n'est pas question d'apprendre quelque chose comme à l'école, mais bien de comprendre quelque chose de nouveau.

Dans cet article, je prend le courage d'écrire, nous prenons le courage de le publier, en sachant que nous allons recevoir des attaques à notre personne par des gens instruits qui connaissent tout de la vie, sauf la leur. Je comprends parfaitement que chaque âme humaine qui attaque, renferme dans son cœur, un appel à l'aide.

Ainsi, je vous apporterai des points de vue différents de ce que nous sommes et ce qu'est la mort afin de vous permettre de choisir librement, l'information qui semble être vraie pour vous et par conséquent, créer votre propre réalité et ainsi vous libérer des sentiments inconfortables qui seront remplacés par d'autres plus confortables.

 

Regardons ensemble, la situation habituelle concernant la mort d'un être cher

Tout d'abord, vous avez en vous un sentiment inconfortable (un problème) que vous nommez une tristesse, de la peine, suite à une perte de quelqu'un, vous vivez un deuil. N'est-ce pas ainsi que tout débute concernant cette expérience ?

Je vais me concentrer sur la tristesse, car c'est un évènement réel tandis que l'angoisse est une pensée qui n'a pas encore de réalité.

Ce sentiment de tristesse est votre vérité présente et elle est presque toujours niée par habitude apprise des autres en cherchant immédiatement une solution, qui en fait, est une fuite, une peur de demeurer avec votre souffrance, votre tristesse ou votre peine. N'est-ce pas ainsi que les gens vivent un problème ?

Se libérer de quelque chose débute en ayant l'intention de la comprendre, de rester avec et de l'aimer. Difficile à croire, car tous les autres vous ont dit le contraire.

Vous, nous avons été conditionnés à juger un problème de mal et une solution de bien, et pourtant, ce qui compte est de ne pas porter de jugement, car le problème ou le sentiment est votre vérité. Si vous le faites, vous dites que vous n'acceptez pas, que vous n'avez pas l'intention de vous comprendre et ainsi aimer votre vérité, qu'elle soit bien ou mal dans vos sentiments.

 

Est-ce que les satisfactions temporaires font augmenter la tristesse ?

Tout le monde vous dit de ne pas être seul, de vous divertir, d'être avec quelqu'un, de ne pas penser à la mort de votre être cher, etc. Cela se nomme des solutions temporaires qui ne font qu'augmenter votre tristesse au point de la changer en une émotion non naturelle comme la déprime, la dépression, l'angoisse, une fois que vous serez à nouveau seul.

D'autre vont vous dire que l'angoisse provient de la peur de l'inconnu concernant la mort, en fait, c'est plutôt la peur de perdre ce qui est connu, et ce qui est connu est votre mémoire ou le passé en pensée.

D'autres vont vous suggérer d'aller consulter des gens à ce sujet et ainsi trouver une satisfaction temporaire encore une fois. Mais cette fois-ci, créant une plus grande dépendance en vous, une habitude inconsciente et ainsi vous faire croire que vous avez besoin d'eux, sans oublier que leur intérêt est de faire du profit.

Tout cela est votre choix, c'est votre vie qu'il s'agit. Si vous vous sentez bien avec ces solutions temporaires, alors continuez jusqu'à ce que vous prenez conscience qu'il y a peut-être autre chose.

 

On ne peut pas changer ce qu'on n'accepte pas

La conscience de soi ou la véritable connaissance débute par l'acceptation, sans jugement, de ce qui est et ici, cela est votre tristesse, votre peine. Cela se nomme de demeurer, d'entrer dans votre état d'être. C'est dans cet état d'être que l'on trouve la liberté, donc le bien-être.

Ce à quoi vous résistez persiste, continue et ce que vous regardez en vous, disparaît sans aucun effort. En fait, le sentiment inconfortable cesse d'exister sous cette forme. Vous l'observez tel qu'il est, vous observez la tristesse en vous telle qu'elle est sans la fuir dans des solutions temporaires.

Cette tristesse peut toujours être transformée. Mais si vous niez cela, si vous jugez cela, si vous fuyez cela, alors rien ne peut changer. Par conséquent, pour changer l'état d'être, pour changer la tristesse, vous devez entrer en vous. Ne résistez pas. Ne la niez pas.

Si vous niez une chose, vous la déclarez. Si vous déclarez une chose, alors vous la créez. Le déni d'une chose est sa répétition, car l'action de nier une chose la fait apparaître.

L'acceptation d'une chose vous en donne la maîtrise. Ce que vous niez, vous ne pouvez pas le contrôler, puisque vous avez déclaré son absence. Par conséquent, ce que vous niez, vous domine.

Presque tous les gens refusent de reconnaître cette négation de soi, car notre conditionnement de la pensée est une profonde habitude en nous.

 

Pouvez-vous accepter la tristesse causée par la mort d'une personne chère ?

Que se passerait-il en vous, si vous acceptiez votre tristesse sans chercher à la résister, à la fuir, à la nier ? De demeurer avec elle afin qu'elle vous révèle tous ses secrets et ainsi comprendre par vous même, ce qu'elle est ?

Si vous croyez pouvoir l'éliminer par votre résistance, par votre refoulement, par votre maîtrise de vos émotions, alors repensez-y. Vous ne faites que l'implanter plus fermement, car toute pensée est créative.

Alors pourquoi ne pas accepter que vous avez créé cette réalité inconsciemment, ce sentiment de tristesse en portant un jugement sur ce que la mort est et surtout d'avoir emprisonné votre émotion naturelle concernant la peine en vous ?

Par conséquent, comme vous ne pouvez pas changer les évènements ou les situations comme ici la mort d'un être cher, alors vous n'avez qu'à changer votre expérience intérieure. Et en cela, vous avez ce pouvoir en tout temps.

Voyez-vous, la tristesse n'a rien à voir avec l'événement que vous nommez la mort, mais plutôt avec la réaction que vous avez à cet égard. Ce qui arrive, c'est ce qui arrive, tout simplement. Votre façon de réagir à ce qui arrive, c'est une autre affaire.

La tristesse ou la douleur résulte d'un jugement que vous avez porté sur quelque chose, sur la mort ici ainsi que sur votre sentiment. Il suffit d'enlever ce jugement et la douleur ou la tristesse disparaîtra.

Et vos jugements sont souvent fondés sur une expérience antérieure et sur les concepts d'idées que vous avez été éduqués à ce sujet pendant votre enfance. L'idée que vous avez concernant une chose provient d'une autre idée antérieure. Cette idée antérieure vient aussi d'une autre idée qui lui est antérieure, et ainsi de suite, comme les fiches d'un jeu de domino.

Par conséquent, votre idée originale à ce sujet est tellement incrustée en vous, que vous ne pouvez pas vous en souvenir.

Beaucoup trop de gens appréhendent la mort d'un être cher ou soi-même avec une crainte profonde. Est-ce possible que cela soit la cause véritable de ne pas aimer la mort, d'avoir peur de celle-ci, de la nier, d'avoir peur de comprendre la vie ? Je ne dis pas de ne pas avoir de tristesse, mais d'aimer dans le sens d'accepter et comprendre que la mort fait partie de la vie.

De comprendre comment nous arrivons à créer ce sentiment inconfortable et ensuite de s'en libérer, quand nous nous observons avec honnêteté, sans chercher à cacher quelque chose ?

 

C'est votre vérité qui libère et non les solutions que vous faites pour vous libérer de la tristesse

 

Qu'est-ce que la peine liée au deuil ?

La peine est une émotion tout à fait naturelle. C'est le don reçu qui vous permet de faire vos adieux quand vous ne désirez pas. Cette peine laisse exprimer, pousser, exposer ou projeter la tristesse que vous éprouvez lors d'une perte de quelque chose ou de quelqu'un.

Lorsqu'on laisse aux enfants d'extérioriser, d'affirmer ou d'exprimer leur peine, alors ils s'en débarrassent facilement et une fois rendus adultes, ils ont un comportement très adéquat envers la tristesse et, par conséquent, surpassent très rapidement leur peine.

Mais les enfants à qui on n'a dit qu'il n'était pas bien de pleurer comme un bébé, de pleurnicher comme une fille ont de la difficulté à pleurer une fois devenus adultes. Ils ont appris par la peur et la culpabilité, de ne pas pleurer, de maîtriser leur tristesse et ainsi cacher leur peine.

La peine continuellement refoulée devient de la dépression, de la déprime et de l'angoisse qui sont des émotions aucunement naturelles. À cause de cela, de nombreuses personnes ont eu beaucoup de difficulté à passer au travers un deuil et ont vécu une vie déprimante sur une longue période, ont été épuisées émotionnellement, malgré les satisfactions temporaires pour soulager leur grande tristesse. D'autres se sont mêmes données la mort pour partir avec la personne aimée.

 

Pour changer nos pensées, il faut d'abord changer notre point de vue, notre perspective, car elle crée cette pensée et la pensée crée notre réalité et nos sentiments. Vous avez ici un nouveau point de vue à ce sujet.

Ainsi, ce qui compte n'est pas de comprendre de plus en plus ce qu'est la mort, mais bien de comprendre, d'être attentif à ce qu'est la tristesse et elle n'est pas séparée de vous.

 

Maintenant vous ?

Quels sont vos sentiments qui résonnent le plus avec ce qui est écrit ? Laissez-moi vos commentaires pour mieux écouter vos inquiétudes.

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